dimanche 29 novembre 2009

Philippines : des touristes blessés par des policiers

Quatre personnes dont trois touristes étrangers, un Américain, un Australien et un Sud Coréen, ont été blessés par balle au cours d'une bagarre avec des policiers dans un bar de la station balnéaire de Puerto Galera aux Philippines, a annoncé la police. L'Américain John Grimm, 45 ans, et l'Australien Paul Andrew Jones, 57 ans, étaient soignés dans un hôpital local pour une balle reçue au pied droit, tandis que le Sud-coréen Kim Myung-Hoon, 38 ans, était soigné pour une balle reçue à la cuisse droite, a indiqué la police dans un communiqué.

Un Philippin était également soigné pour une balle à la cuisse droite, selon la police, tandis que trois autres personnes souffraient de blessures légères. Un policier a été arrêté et le chef de la police de la station balnéaire a été suspendu de ses fonctions à la suite de cette bagarre qui a éclaté vendredi soir dans un bar du front de mer, a précisé la police.

Le chef de la police suspendu de ses fonctions, James Brillantes, avait été invité pour l'inauguration du bar. Un policier de son escorte a échangé des coups avec un groupe de touristes déclenchant une fusillade, a souligné la police. Puerto Galera, connue pour ses plages de sable blanc, se trouve sur la côte nord de l'île de Mindoro. C'est une destination touristique réputée des Philippines.

Source : AFP

samedi 28 novembre 2009

Philippines: le suspect numéro un du massacre inculpé pour meurtre

MANILLE — Un homme politique local, suspect numéro un du massacre qui a fait au moins 57 morts lundi dans le sud des Philippines, a été inculpé pour meurtre, a annoncé vendredi la ministre de la Justice, Agnes Devanadera.

La justice a inculpé Andal Ampatuan Jr, élu local et fils du gouverneur provincial, pour meurtres après le massacre lundi d'élus locaux et des journalistes.

"C'est lui qui a donné les instructions. Il était parmi ceux qui ont stoppé le convoi et ont abattu les victimes", a déclaré la ministre.

Par ailleurs, une dizaine de membres du puissant clan du suspect, dont son père, ancien allié politique de la présidente philippine Gloria Arroyo, sont considérés comme suspects dans le massacre, a-t-elle également indiqué.

Au moins 57 personnes ont été abattues lundi dans la province de Maguindanao, sur l'île de Mindanao, par des hommes armés présentés comme des miliciens à la solde du suspect numéro un, sur fond de rivalités politiques.

Source : AFP

jeudi 26 novembre 2009

Les Philippines doivent trouver le moyen d'attirer les investisseurs

En 2009, l'économie des Philippines a échappé aux effets dévastateurs des cyclones, qu'ils soient financiers ou naturels. En revanche, les troubles politiques pourraient bien provoquer de gros dégâts. Le massacre d'au moins 52 personnes sur l'île méridionale de Mindanao nous rappelle de façon tragique que l'économie n'est pas toujours la priorité numéro un des responsables politiques. Les incidents, qui ont éclaté à Mindanao, ne devraient pas se propager dans le reste du pays, mais ils compromettent les investissements étrangers dans un pays qui en manquait déjà cruellement.

En comparaison de ses voisins asiatiques, les Philippines ont vécu une crise économique plutôt modérée. Si l'on s'attend bien, cette année, à un recul de 17 % des exportations traditionnelles, les mandats envoyés au pays par les travailleurs philippins ayant émigré à l'étranger - 10 % du produit intérieur brut (PIB) - restent importants. Voilà qui couronne la stratégie officieuse consistant à exporter des habitants aussi bien que des produits. La Banque mondiale prévoit une croissance du PIB philippin de 1,4 % pour 2009.

Les investissements, eux, se sont taris. Si l'on en croit les travaux menés par la banque australienne Macquarie, le flux net s'est élevé à 389 millions de dollars (258 millions d'euros), soit une moitié de ce que récolte l'Indonésie, malgré des ratios cours/bénéfices moitié moins élevés. C'est le résultat de plusieurs décennies de capitalisme clientéliste et d'une succession de gouvernements faibles. La Banque mondiale calcule un indice destiné à classer les pays en fonction de leur propension à "faciliter les affaires". L'édition 2010 voit les Philippines reculer de trois places pour occuper désormais le 144e rang mondial.

Budgets déficitaires

Le gouvernement a tenté de remplacer les investisseurs indifférents, et la présidente, Gloria Macapagal-Arroyo, a enchaîné les exercices budgétaires déficitaires. Selon la Standard Chartered Bank, le déficit public devrait représenter 4 % du PIB en 2009, c'est-à-dire 6,8 milliards de dollars. L'Etat a émis pour 3,2 milliards de dollars d'obligations cette année, mais l'échec qu'ont essuyé deux mises sur le marché montre que les taux d'intérêt sont sous pression.

Les élections du mois de mai 2010 porteront peut-être un nouveau gouvernement au pouvoir, mais il y a peu de chances d'assister à une révolution économique. Comme les riches Philippins acquittent assez peu d'impôts, le ratio recettes publiques/PIB est l'un des plus bas au monde. Manille préfère compter sur ceux qui sont partis travailler ailleurs et sur les marchés mondiaux de titres de dette. Quand on se souvient qu'il y a cinquante ans, le PIB par habitant du pays valait presque celui du Japon, on ne peut pas s'empêcher de penser qu'il mérite bien mieux.

Source : Le Monde

Philippines : le suspect n°1 du massacre s'est rendu

Le fils du gouverneur de la province de Maguindanao, membre d'un influent clan proche de la présidence, est soupçonné d'avoir organisé le meurtre de 57 personnes. Le but : empêcher qu'un candidat rival ne se présente face à lui aux élections.

Le principal suspect du massacre qui a tué au moins 57 personnes lundi dans le sud des Philippines, s'est rendu jeudi aux autorités et doit être transféré vers Manille pour être interrogé. Il s'agit d'un membre du clan Ampatuan, la famille rivale d'Esmael Mangudadatu, candidat au poste de gouverneur dans la province de Maguindanao, dont la famille et les partisans ont été massacrés. Menacé à plusieurs reprises, Esmael Mangudadatu avait en effet préféré envoyer son épouse et son équipe de campagne, soit une quarantaine de personnes, déposer sa candidature. Mais au cours de l'expédition qu'une centaine d'hommes armés ont pris en otage l'ensemble de ce convoi électoral, ainsi que les journalistes présents. Parmi les principales victimes, figurent ainsi la femme et les deux sœurs d'Esmael Mangudadatu, certains de ses soutiens ainsi que treize journalistes.

Andal Ampatuan Junior, fils du gouverneur actuel de la province de Maguindanao, est soupçonné d'avoir stoppé le convoi grâce à l'intervention de quatre responsables de la police locale, des policiers et des hommes de main. Les corps des victimes, jetés dans de vastes fosses communes, ont été retrouvés criblés de balles. L'armée et des proches des victimes ont aussitôt accusé mardi le gouverneur de la province d'avoir organisé la tuerie pour empêcher son rival, Esmael Mangundadatu de se porter candidat à son poste lors d'élections prévues l'an prochain, préférant plutôt voir son fils lui succéder.

Etat d'urgence décrété dans la province de Maguindanao

«Face à la pression du gouvernement, Andal Ampatuan Jr s'est finalement rendu au conseiller du président de la province, Jesus Dureza, a expliqué le général Raymundo Ferrer, membre de l'armée de terre. La famille l'a volontairement livré et a accepté qu'il soit interrogé.» Pourtant, le suspect, soutenu par son clan, nie toute implication dans le massacre.

Alors que le clan Ampatuan a été un précieux allié de la présidente des Philippines, Gloria Macapagal Arroyo, lors des élections de 2004, cette dernière a promis que les responsables du massacre n'échapperaient pas à la justice. Elle a également décrété l'état d'urgence dans la province de Maguindanao et celle, voisine, de Sultan Kudarat, où des policiers et soldats ont été envoyés en renfort.

Des blindés patrouillaient ainsi jeudi sur les grandes routes de la province, tandis que des commandos de police investissaient les immeubles des clans politiques dans les grandes villes de la région. Le directeur général de la police nationale Jesus Verzosa a également annoncé qu'un certain nombre, non précisé, de meurtriers présumés avaient déjà été arrêtés.

Source : Le Figaro

lundi 23 novembre 2009

Massacre aux Philippines

21 personnes au moins ont été enlevées et assassinées par une centaine d'hommes armés dans le sud des Philippines. L'opération serait liée à des rivalités politiques.

Une centaine d'hommes armés ont enlevé et assassiné 21 personnes au moins ce lundi dans le sud des Philippines, dans une opération qui semble liée à des rivalités politiques, alors qu'a débuté l'enregistrement des candidatures pour les élections générales prévues en mai 2010.

Une des victimes est une femme qui s'apprêtait à déposer la candidature de son époux pour le poste de gouverneur de province, a précisé l'armée. Deux avocats, plusieurs journalistes ont également été tués.

Au total, les corps de 13 femmes et huit hommes ont été retrouvés par les militaires dans une zone montagneuse de la province de Maguindanao, sur l'île de Mindanao dans le sud du pays, où une trentaine de personnes avaient été kidnappées.

Rivalités claniques

"Il y a sans doute d'autres cadavres enfouis dans le sol", a déclaré le lieutenant-colonel Romeo Brawner. "Malheureusement, les assassinats se sont produits avant que nos hommes aient le temps d'arriver."

Les ravisseurs seraient des partisans d'un homme politique local, a indiqué à la presse le colonel Jonathan Ponce, porte-parole de l'armée.

L'enregistrement des candidatures pour le scrutin prévu le 10 mai prochain a débuté la semaine passée. Près de 18 000 sièges sont à pourvoir au niveau national et au niveau local.

Les élections sont souvent entachées de violences aux Philippines, notamment dans le sud du pays où les forces de l'ordre sont aux prises avec des rebelles communistes et des militants islamistes et doivent faire face à des rivalités claniques.

Philippines : cinq morts dans un accrochage entre armée et rebelles

Quatre bandits philippins et une petite fille de cinq ans ont été tués dans un accrochage survenu en fin de semaine dans la région du sud instable des Philippines, a-t-on appris lundi de source militaire.

Des soldats patrouillaient à pied samedi dans le village de Upper Sepaka de la ville de Surallah, dans la province de Cotabato du Sud, lorsqu'ils sont entrés en conflit avec un nombre indéterminé de bandits liés aux rebelles musulmans, a indiqué le lieutenant-colonel Joshua Santiago, un commandant de l'armée locale.

Quatre suspects ont été tués dans l'échange de tirs, alors qu'une petite fille de cinq ans a été tuée par des balles perdues.

La semaine dernière, des hommes armés ont attaqué le même village et incendié trois maisons.

Source: xinhua

samedi 21 novembre 2009

Il n'y aura pas de président homosexuel aux Philippines

La Commission électorale philippine a interdit à Ang Ladlad, groupe de défense des droits des homosexuels, de prendre part à l'élection présidentielle de 2010, l'accusant d'immoralité.

Citant des passages de la Bible et du Coran condamnant l'homosexualité, la commission a affirmé qu'Ang Ladlad (littéralement "hors du placard") "tolère l'immoralité qui offense nos croyances religieuses" et expose notre jeunesse à "un environnement contraire aux enseignements de notre foi".

La décision a déclenché une vague de protestations dans la communauté gay ainsi que dans une partie de la presse. Le Philippine Daily Inquirer s'insurge ainsi contre l'homophobie de la commission électorale, mais aussi contre la référence aux textes sacrés qu'il considère être une violation de la Constitution, qui consacre la séparation entre l'Eglise et l'Etat.

Ang Ladlad a fait appel de cette décision, alors que les candidats à la présidentielle ont jusqu'au 1er décembre pour déposer leur candidature.

Pacquiao accueilli en héros à son retour aux Philippines

Manny Pacquiao a été accueilli en héros à son retour aux Philippines, cinq jours après avoir été sacré champion WBO des welters grâce à sa nette victoire sur le Portoricain Miguel Cotto à Las Vegas, par arrêt de l'arbitre à la 12e et dernière reprise.

Des responsables de haut rang ainsi que des dizaines de milliers de supporters, dont certains brandissaient une banderole "Bienvenue à la maison au meilleur boxeur de tous les temps", ont rendu un hommage unanime à Pacquiao à sa descente d'avion.

Le Philippin, âgé de 30 ans, est désormais le seul boxeur de l'histoire à avoir remporté sept titres mondiaux dans autant de catégories de poids différentes.

Ouverture aux Philippines de la conférence mondiale des entrepreneurs chinois

La 10e Conférence mondiale des entrepreneurs chinois a débuté vendredi. Plus de 1.000 hommes d'affaires venant de Chine et 2.000 commerçants d'origine chinoise sont présents à ce forum de deux jours qui vise à renforcer la coopération entre les entrepreneurs chinois.

La présidente philippine Gloria Macapagal-Arroyo et Jia Qinglin, président du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), qui effectue une visite de deux jours aux Philippines, étaient présents à la cérémonie d'ouverture.

Avec pour thème "Prospérité mondiale avec l'entrepreneuriat chinois", la conférence de cette année met l'accent sur la coopération face à la crise financière et cherche à explorer les moyens permettant de réaliser la croissance durable du secteur privé.

La vice-président de la Conférence, Alfonso Uy, a indiqué dans son discours que l'interaction et la coopération entre les Chinois sont particulièrement importantes à un moment où les effets de la crise persistent dans l'économie mondiale. "La conférence sert de plate-forme pour approfondir les échanges, prendre le pouls de la tendance mondiale et rassembler pour relever les défis", a-t-il souligné.

Depuis sa fondation en 1991, la conférence mondiale des entrepreneurs chinois s'est déroulée avec succès dans plusieurs villes, dont Singapour, Hong Kong de Chine, Bangkok (Thaïlande), Vancouver (Canada), Melbourne (Australie), Nanjing (Chine), Kuala Lumpur (Malaisie), Séoul (Corée du Sud) et Kobe (Japon).

Source: xinhua

mercredi 18 novembre 2009

L'ONU révise à la hausse son appel de fonds pour les Philippines

Les Nations unies ont révisé à la hausse, de 74 à 143,7 millions de dollars, son appel de fonds pour les victimes des typhons qui ont frappé les Philippines en septembre et en octobre, a indiqué mardi le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA).

Sur l'appel à contributions initial, lancé début octobre pour un montant de 74 millions de dollars, seulement 26 millions de dollars ont été octroyés jusqu'à présent, a précisé l'OCHA dans un communiqué.

Les Philippines ont été touchées consécutivement, entre septembre et octobre, par la tempête tropicale Ketsana, le typhon Parma et le typhon Mirinae. Selon le gouvernement philippin et de nouvelles évaluations détaillées des agences de l'ONU, le nombre de gens dans le besoin est de 4,2 millions sur les 10 millions de personnes affectées par les typhons, a indiqué l'OCHA.

Parmi les sinistrés figurent notamment plus de 520.000 enfants âgés de moins de cinq ans, a souligné l'agence onusienne, avant d'ajouter que les agences humanitaires sont particulièrement préoccupées par les 1,7 million de personnes encore déplacées ou vivant dans des zones qui restent inondées.

samedi 14 novembre 2009

Philippines: combats meurtriers entre l'armée et la rébellion

Au moins vingt-trois personnes ont été tuées au cours de combats entre l'armée philippine et la rébellion communiste dans le sud de l'archipel. Au moins dix militaires, un policier ainsi qu'un responsable de la sécurité du site ont également été blessés.

La guérilla communiste a lancé, mercredi, une attaque contre un site d'exploitation de bois, tuant douze personnes dont huit soldats, a indiqué le chef-adjoint de la police de l'île de Mindanao.

Le NPA, bras armé du Parti communiste des Philippines (CPP), compterait environ 5000 combattants, selon l'armée, qui luttent depuis près de 40 ans pour l'instauration d'un Etat communiste dans l'archipel.

vendredi 13 novembre 2009

Philippines : un prêtre irlandais libéré

Des militants dans le sud des Philippines ont libéré jeudi matin un prêtre irlandais malade avant la visite de la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton.

Les ravisseurs détenant le prêtre Michael Sinnot, 79 ans, l'ont remis aux membres d'un comité du Front Moro de libération islamique (MILF).

"M. Sinnot a été libéré. Nous l'avons transféré au gouvernement vers 04h30 (heures locales) dans le village de Sangali, au sud de la ville de Zamboanga", a confié à Xinhua le négociateur en chef du MILF, Mohagher Iqbal.

"Ils ont subi des pressions. Nous nous sommes entretenus avec les familles des ravisseurs. Aucune rançon ne leur a été payée. Toutefois, nous avons dépensé beaucoup d'argent pour les secours", a ajouté M. Iqbal.

lundi 9 novembre 2009

Un directeur d'école décapité aux Philippines

La tête d'un chef d'établissement philippin enlevé par le groupe islamiste Abou Sayyaf a été retrouvée lundi dans une station essence du sud de l'archipel, a annoncé la police.

Gabriel Canizares, 36 ans, avait été kidnappé à bord d'un bus le 18 octobre près de la localité de Patikul, sur l'île de Jolo, où le groupe islamiste avait exigé 2 millions de pesos (42.373 USD) pour sa libération. Les proches de l'enseignant avaient refusé de s'acquitter de la rançon. Le reste du corps n'a pas été retrouvé, a indiqué le chef de la police locale Usman Pingay.

"Nous leur ferons payer l'énormité de cet acte sauvage", a indiqué dans un communiqué la porte-parole de la présidente Gloria Arroyo.

Le groupe Abou Sayyaf s'est spécialisé dans les enlèvements d'étrangers et de chrétiens avec demande de rançon. Les autorités l'accusent également de liens avec les organisations islamistes Al-Qaïda et la Jamaah Islamiyah, JI, accusée d'avoir fomenté l'attentat qui avait fait 202 morts sur l'île indonésienne de Bali en 2002. (belga/cb)

samedi 7 novembre 2009

La réhabilitation des prisonniers philippins passe par la dance

Souvenez-vous de l’hommage rendu à Michael Jackson par les détenus d’une prison aux Philippines. Une vidéo qui a été visionnée par plus de 4 millions de personnes dans le monde à ce jour.
Et bien les détenus Philippins sont de retour avec plein de nouvelles chorégraphies qui devraient également faire le buzz dans les prochains jours.













Where in the world can you find “dancing inmates”? Only in the Philippines , or more specifically only in Cebu . The whole concept of discipline and dancing as methods of rehabilitation has never been in the books. It deviates and does not conform to the principles of jail management and penology. But a son of a political scion transcended from his political and landlord roots to do “the very least for his brethren" – turn dregs into human beings.



Byron Garcia – son of former Cebu Governor Pablo Garcia and brother of now Cebu Governor Gwendolyn Garcia – could easily have pursued a comfortable corporate career being a management graduate. But he chose to be with the thugs of society, he chose to be with the dangerous men of society and he chose to be in a thankless and demeaning job where his relatives thought it was such a crazy thing to do.

mardi 3 novembre 2009

Seize morts dans l'incendie d'un bidonville aux Philippines

Un incendie a détruit lundi un bâtiment d'un bidonville du centre des Philippines, tuant 16 habitants dont des enfants.

Le feu a début dans la nuit de dimanche à lundi et s'est rapidement étendu à cause de vents violents d'un bâtiment décrépi en bois à une soixantaine de bidonvilles à Bacolod, a annoncé le capitaine des pompiers Pamela Candido.

Plusieurs personnes ont sauté par les fenêtres mais d'autres ne se sont pas réveillés à temps, a-t-elle expliqué à l'AP. "Des mères ont trouvé la mort avec leurs enfants".

Ce bâtiment abritait des familles très pauvres, certains travaillant comme vendeur sur le marché tout proche, ont précisé des responsables.

Une enquête était en cours pour déterminer la cause du sinistre qui a débuté au rez-de-chaussée. AP

dimanche 1 novembre 2009

Quatrième typhon en un mois aux Philippines: 20 morts, quatre disparus

Le typhon Mirinae, qui s'est transformé en tempête tropicale, se dirigeait dimanche vers le Vietnam après avoir coûté la vie à 20 personnes aux Philippines qui se remettent de trois violents épisodes climatiques.

Mirinae s'est affaibli dans la journée alors qu'il se dirigeait vers la mer de Chine méridionale. Il devrait atteindre la côte du centre du Vietnam lundi vers la mi-journée.

Le Premier ministre vietnamien Nguyen Tan Dug a ordonné aux habitants de commencer à évacuer les zones à haut risque dans cinq provinces côtières. Il a aussi donné l'ordre aux pêcheurs vietnamiens se trouvant en mer de Chine méridionale d'aller se mettre immédiatement à l'abri.

Les deux pays se remettent du passage du typhon Ketsana, qui a provoqué les pires inondations à Manille, la capitale des Philippines, depuis 40 ans et a fait plus de 160 morts au Vietnam fin septembre.

Ketsana et deux autres tempêtes ont coûté la vie à plus de 900 personnes aux Philippines. Quelque 87.000 habitants, qui avaient fui les intempéries, se trouvaient toujours dans des abris provisoires quand Mirinae a frappé.

Le dernier typhon a entraîné la mort de 20 personnes, la plupart par noyade, dans six provinces des Philippines. Quatre personnes étaient portées disparues dimanche, selon des responsables des services chargés de la gestion des catastrophes. AP